i-SEP obtient l’autorisation de l’ANSM et l’AFMPS pour lancer son étude clinique en France et en Belgique

 

 


Nantes, le 2 juin 2020 – I-SEP, Medtech française (Nantes), spécialisée dans le traitement du sang et la stratégie d’épargne sanguine, a développé et breveté une technologie innovante de séparation des
composants du sang. Fonctionnant par filtration tangentielle, elle est capable de récupérer à la fois les globules rouges et les plaquettes du patient lors d’interventions chirurgicales hémorragiques. Après avoir obtenu la certification ISO 13485:2016 en janvier 2020, i-SEP vient de recevoir l’autorisation de l’ANSM(1) et de l’AFMPS(2) pour lancer son étude clinique européenne en France et en Belgique. Cette étude va permettre de confirmer les résultats précliniques très prometteurs obtenus in vitro et in vivo. Face aux situations de tension de disponibilité des stocks de produit sanguin labile (PSL) qui sont loin d’être rares et tout particulièrement en plaquettes, la solution i-SEP constitue une innovation majeure pour les patients et les médecins.

 

Cet essai clinique multicentrique européen vise à entériner la performance et la sécurité du système de récupération de sang périopératoire (RSPO) d’i-SEP, d’une part en terme de nettoyage du sang, et d’autre part en terme de restitution des globules rouges et des plaquettes. L’enjeu est donc de confirmer les résultats précliniques très prometteurs et évaluer s’ils sont associés à une réduction des transfusions allogènes, voire du saignement chez le patient. Il sera mené sur 50 patients dans 4 Centres Hospitaliers en France (CHU Bordeaux, CHU Rennes, HEGP Paris, CHP Rennes) et 2 en Belgique (CHU Charleroi, CHU Liège), avec pour ambition d’obtenir le marquage CE au premier semestre 2022.

 

Le recours à l’autotransfusion est préconisé par les autorités de santé depuis 2010

 

L’Organisation Mondiale de la Santé et le Patient Blood Management promeuvent le recours à l’autotransfusion depuis 2010(3) à la fois dans l’intérêt du patient mais aussi pour la réduction des coûts de santé.

 

En France, plus de 500 000 patients sont transfusés chaque année. Acte salvateur et nécessaire, la transfusion sanguine allogène(4) doit néanmoins être raisonnée. Loin d’être anodine, elle comporte des risques d’incompatibilité, de contaminations, de complications, et peut être à l’origine d’effets indésirables essentiellement respiratoires. Près de 60%(5) des transfusions allogéniques seraient inappropriées, induisant de multiples risques accrus. Le recours à l’autotransfusion réduit ces risques et pourra également contribuer à préserver les réserves de produits sanguins de banques pour les consacrer aux patients n’ayant pas d’alternatives en libérant la pression sur l’approvisionnement en plaquettes allogéniques, dont le besoin est croissant en hématologie / oncologie. La seule technologie d’autotransfusion actuellement disponible sur le marché fonctionne par centrifugation et permet de conserver uniquement les globules rouges, mais pas les autres composants du sang, notamment les plaquettes.

 

“La technologie d’i-SEP est extrêmement innovante car elle modifie le concept de transfusion autologue de façon pertinente. En tant que responsable de structure pleinement impliquée dans l’anesthésie-réanimation pour chirurgie cardiovasculaire, thoracique et digestives lourdes y compris la transplantation d’organes, les résultats des tests précliniques me semblent très prometteurs, et j’attends désormais avec impatience les résultats de l’essai clinique qui va débuter”, explique le Professeur Alexandre Ouattara, Chef du Service d’anesthésie-réanimation GH Sud au CHU de Bordeaux 3.

 

Des résultats précliniques prometteurs pour les patients et les médecins

 

A l’aube du lancement de son étude clinique, i-SEP s’appuie déjà sur des résultats précliniques obtenus ces derniers mois en collaboration avec ses partenaires académiques et hospitaliers, dont le CHU de Bordeaux et de Rennes ou encore l’école Vétérinaire ONIRIS. Pour les médecins, la solution i-SEP diffère tout d’abord par son ergonomie et son intuitivité. L’équipement est conçu pour permettre une prise en main immédiate et une installation en moins de 2 minutes (contre jusqu’à 5 à 10 pour les solutions existantes). La vitesse de traitement du sang est également un enjeu important, qui permet aussi de limiter le risque de choc hémorragique pour le patient. i-SEP offre un traitement plus rapide que la moyenne des techniques alternatives compétitives (6 minutes(6)), avec 500 mL traités en seulement 4 minutes(7).

 

Côté patient, l’enjeu est double :

 

Préserver les plaquettes et leur compétence hémostatique

– Le procédé unique par filtration tangentielle développé par i-SEP offre un rendement en globules rouges équivalent aux techniques alternatives compétitives par centrifugation, soit environ 91 %(7) de globules rouges préservés.
– L’innovation réside dans la capacité de la solution i-SEP à assurer un rendement plaquettaire allant de 53 à 81 % par cycle(7), contre seulement 5 à 11 % pour les techniques actuellement disponibles sur le marché. Ces chiffres sont importants compte tenu du coût et du risque associé à la transfusion de concentrés plaquettaires allogènes(8) (réactions inflammatoires, alloimmunisation, augmentation de la mortalité en chirurgie hépatique et de la morbidité en chirurgie cardiaque…).

 

Assurer une concentration et un lavage du sang a minima équivalent aux solutions existantes, notamment selon deux critères essentiels :

– Concentration de globules rouges (hématocrite) dans le produit sanguin traité : la solution i-SEP grâce à la technologie de filtration tangentielle permet d’obtenir une concentration de 49,6%(9) de l’hématocrite de sortie. C’est une performance équivalente à celle des dispositifs sur le marché.

– La solution i-SEP permet d’éliminer l’héparine du sang jusqu’à 99,7%(9). « Notre étude clinique, qui débutera au second semestre 2020, vise à démontrer la performance et la sécurité de notre autotransfuseur avant sa mise sur le marché : c’est une étape clé du parcours réglementaire en vue de l’obtention du marquage CE que nous visons en 2022 », précise Sylvain Picot, Président et co-fondateur d’i-SEP.

 

1 Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (France)
2 Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé (Belgique)
3 WHA63.12 – Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la Santé : Le « Patient Blood Management » (PBM), en Français « gestion personnalisée du capital sanguin », permet d’optimiser la prise en charge des patients subissant une intervention chirurgicale à risque hémorragique grâce à la mise en place d’une stratégie coordonnée, multimodale et multidisciplinaire visant à maintenir des concentrations acceptables d’hémoglobine, optimiser l’hémostase, minimiser les pertes de sang et limiter les transfusions allogènes (sang de donneur)
4 Lors d’une transfusion allogène, le patient reçoit le sang ou les cellules sanguine d’un donneur ou issu des banques de sang
5 Aryeh Shander et al. Transfusion Med Rev Volume 25, Issue 3, July 2011, Pages 232-246.e53
6 Données bibliographiques et expérimentales
7 i-SEP, données internes
8 Sources: Van Hout 2017, Tsirigotis 2016, Kertai 2016, Glance 2014, Alfiveric 2011, Refaai 2011, Greinacher 2010, Pereboom 2009, Karkouti 2007, Vamvakas 2007, Spiess 2004, Dzik 2004
9 i-SEP, données internes

 

 

Après avoir séduit des milliers de Nantais, avec plus de 50 000 livraisons depuis le début de l’aventure en 2018, et une centaine de producteurs des Pays de la Loire, Vite Mon Marché est arrivé cette semaine à Rennes pour livrer ses produits en direct d’une trentaine de producteurs bretons pour le moment. La promesse reste la même : des produits locaux et bio en direct des agriculteurs régionaux livrés dans l’heure !

 

Un marché en direct des producteurs livré dans l’heure

 

Les Rennais peuvent désormais commander leur marché parmi plus de 200 produits locaux et bio triés sur le volet, en direct des agriculteurs et artisans locaux et être livrés dans l’heure ou dans la journée ! Pour être livré, rien de plus simple : il suffit de se connecter sur vitemonmarche.fr , de choisir son créneau et son  adresse de livraison, puis de faire son marché en ligne, parmi les différents produits disponibles. Les premiers jours de ventes ont été un succès : en 48h, près de 100 Rennais ont déjà été séduits par le concept et ont réalisé leur 1ère commande Vite mon Marché !

 

Le modèle logistique de Vite mon Marché avec des camions ambulants connectés, permet de livrer dans l’heure et dans la journée. Depuis le confinement, l’entreprise a dû momentanément adapter son organisation pour répondre à une grande demande : pendant cette période, les livraisons sont effectuées le lendemain de la commande entre 14h et 21h. Vite mon Marché proposera à nouveau la livraison dans l’heure cet été pour développer un circuit court connecté facile d’accès et adapté aux contraintes des consommateurs d’aujourd’hui.

 

Les fondateurs ont en effet la conviction que le circuit court à grande échelle ne peut fonctionner que s’il apporte une solution à tous ceux qui veulent manger local et responsable mais n’ont pas beaucoup de temps à y consacrer. Cette préoccupation est partagée par une part croissante de la population française, et cela se reflète dans la clientèle de Vite mon Marché qui est certes majoritairement féminine mais avec une grande diversité d’âges et de catégories socio-professionnelles : on y retrouve aussi bien l’étudiante engagée que la mère de famille pressée ou la retraitée connectée. Toutes sont soucieuses de leur santé, de l’environnement et à la recherche de produits qui ont du goût et qui soutiennent l’agriculture locale.

 

Le retour du camion ambulant pour connecter les agriculteurs et consommateurs

 

Chaque semaine, une trentaine de producteurs bretons fournissent Vite mon Marché. L’offre est variée : fruits et légumes BIO, crèmerie, pain, viande, poisson, épicerie, boissons…à 75% BIO ou locale. Les Rennais peuvent commander en direct d’une trentaine de producteurs et artisans d’Ille-et-Vilaine comme : le pain BIO de Fagots & Froment au Theil de Bretagne, l’andouille de Guéméné de l’Atelier de l’Argoat à Plélan-le-Grand, les oeufs BIO de la Ferme de la Bassière à Cherrueix, le beurre breton de la Crémerie de Brocéliande à Talensac, la viande de porc de la Maison Brielle à Brielles, le miel d’ Aux grées des fleurs , à Renac, la bière de la Brasserie Sainte-Colombe à Sainte-Colombe, et bien d’autres encore… Les camions ambulants sont chargés tous les jours de ces produits frais avant de partir livrer les différents quartiers de Rennes.

 

 

“Chaque consommateur profite de produits bio, locaux avec un service ultra rapide, d’où le nom: Vite mon Marché !” s’enthousiasme Reynald Naulleau, un des deux co-fondateurs, lui-même fils d’agriculteurs et ancien journaliste sportif de France Bleu Armorique. « Nous venons apporter à nos clients une nourriture saine et qui rétribue bien mieux les producteurs, tout en réduisant drastiquement le trajet réalisé par nos produits. Nous le faisons en nous adaptant à la vie de nos clients urbains et péri-urbains en leur apportant un marché certifié local et bio à domicile. »

 

Aujourd’hui Vite mon Marché souhaite devenir le circuit-court de référence du Grand Ouest.

 

A propos de Vite mon Marché
Créée en 2018 par Nicholas Hoddevik et Reynald Naulleau, Vite mon Marché est une startup nantaise dendistribution alimentaire. Après son succès nantais (400 livraisons/jour), l’entreprise a déjà réalisé deux levées de fonds auprès d’investisseurs bretons comme West Web Valley et Go Capital, afin de se développer et de lancer son service dans d’autres villes comme La Roche Sur Yon et maintenant Rennes ! Après 3 ans d’activité, Vite mon Marché compte une cinquantaine de salariés.

 

 

Rennes, le 7 mai 2020GO CAPITAL, investisseur en capital innovation présente un premier trimestre 2020 très dynamique au regard du nombre d’opérations d’investissements et de réinvestissements réalisées. L’équipe de GO CAPITAL se mobilise pour accompagner ses participations et soutenir les deeptech régionales les plus prometteuses durant la crise.

 

UN PREMIER TRIMESTRE 2020 MARQUÉ PAR SEPT OPÉRATIONS DE FINANCEMENT

 

Au 1er trimestre 2020, GO CAPITAL a réalisé 3 nouveaux investissements pour un montant d’1,9 M€.

 

AKRYVIA, start-up qui développe une technologie de découpe des métaux innovante a rejoint le portefeuille de participations de GO CAPITAL en janvier. Les dossiers d’investissement auprès d’ABC Transfer (développement de gammes de produits utilisés sur les chaines de transfert de l’industrie pharmaceutique) et d’ECOVELO (vente et conception de solutions technologiques de véhicules légers, électriques-hybrides, en libre-service) ont également été finalisés dans le contexte de crise sanitaire.

 

Par ailleurs, un montant de 0,42M€ millions d’euros a fait l’objet de réinvestissements auprès de quatre sociétés.

 

Via ces réinvestissements, GO CAPITAL a renouvelé son soutien auprès de deux sociétés innovantes évoluant sur le secteur des technologies médicales et d’analyse (TRICARES et DIAFIR) ainsi que deux start-up du digital (ANTIOTE et ALCUIN). Certaines de ces opérations de refinancement auront pour objectif de soutenir les sociétés durant la crise sanitaire COVID-19.

 

 

CRISE SANITAIRE ET PERSPECTIVES D’INVESTISSEMENT SUR LES PROCHAINS TRIMESTRES

 

 « En concertation avec les sociétés de notre portefeuille, nous avons évalué les conséquences de la crise sanitaire sur leurs perspectives de croissance et leur santé financière sur les prochains trimestres. La trésorerie de ces dernières est bien entendu impactée et nous prévoyons d’accentuer notre politique de réinvestissement auprès des start-up les plus prometteuses. Depuis plusieurs semaines, nous suivons au cas par cas l’évolution des mesures réglementaires qui s’appliquent au profil de nos participations. Notre mission vise plus que jamais à les informer, les guider et les soutenir en première ligne dans leurs décisions et leurs démarches afin de protéger leur trésorerie, le maintien de leur activité et les emplois qui en découlent », indiquent Bertrand Distinguin et Jérôme Guéret, directeurs d’investissements associés chez GO CAPITAL.

 

En tant qu’investisseur responsable, GO CAPITAL entend également poursuivre activement sa politique d’investissement auprès des deeptech du Grand Ouest. Ainsi, au cours des prochains mois, la société de gestion devrait intervenir dans quatre à cinq opérations de financement. Des réinvestissements auprès de sociétés du portefeuille actuel de la société de gestion sont également prévus pour un montant estimé à 2 à 3M€.

 

ZOOM SUR QUELQUES ACTEURS DE NOTRE PORTEFEUILLE QUI ONT SU SE RÉINVENTER EN PEU DE TEMPS

 

Plusieurs start-up soutenues par GO CAPITAL mobilisent leurs compétences et leur énergie pour participer à la lutte contre la pandémie de COVID-19. Leur activité a été rapidement adaptée afin de répondre à une demande croissante du grand public et des acteurs sociaux-économiques.

 

BIOSENCYLa société rennaise développe le premier dispositif médical de télésuivi et de prévention dédié aux patients insuffisants respiratoires chroniques, et en particulier aux patients souffrant de Bronchopneumopathie Chronique Obstructive (BPCO). La start‐up livrera 600 bracelets de suivi, réalisés grâce à l’appui d’ASICA et Actuaplast. Le bracelet connecté est adapté au traitement à distance de personnes en détresse respiratoire pour faciliter leur retour à domicile. Ce dispositif médical est particulièrement utile pour permettre aux hôpitaux de libérer des lits de réanimation et de faire un suivi des patients à l’hôpital ou en ambulatoire.

BIOSENCY est une participation du fonds GO CAPITAL Amorçage II.

 

 

SHOPOPOP – La start-up nantaise accompagne à ce jour près de 800 magasins en France (Leclerc, Système U, Intermarché, et plus récemment Auchan et Carrefour…). La plateforme met en relation les particuliers qui souhaitent mutualiser leurs déplacements pour l’achat de courses en drive ou en magasin. Depuis le début du confinement, les commandes passées auprès de la communauté de particuliers-livreurs de Shopopop sont en forte progression.  Afin de sécuriser le service de livraison, la plateforme impose des livraisons sans échange direct entre le livreur et le livré. Les magasins sont également incités à fournir des masques et gants aux livreurs. A noter que la start-up a été reconnue comme service d’utilité publique par l’Etat en mars 2020.

SHOPOPOP est une participation du fonds GO CAPITAL Amorçage II.

 

 

VITEMONMARCHÉLa startup nantaise de distribution alimentaire propose un modèle innovant permettant de livrer dans l’heure des produits frais et locaux en direct des producteurs grâce à des camions ambulants. Seulement quelques jours après le début du confinement, Vitemonmarché a dû mettre en place une nouvelle organisation afin de préparer 500 commandes par jour. Ainsi, un nouvel outil d’optimisation des trajets de livraison, la surface de la chambre froide triplée, et le doublement de la flotte de camions ont été mis en place en un temps record. La start-up emploie à ce jour 70 salariés contre 30 avant le début de la crise sanitaire et doit ouvrir son service dans de nouvelles métropoles françaises dès 2020. La start-up prévoit une ouverture de ses services à Rennes dès le mois de mai.

VITEMONMARCHÉ est une participation du fonds GO CAPITAL Amorçage II.

 

 

 

Ecovelo, fournisseur de solutions de vélos libre-service hybrides, lève 2 M€ auprès de la Banque des Territoires, GO CAPITAL et Parthal

 

Nantes, le 05 mai 2020 – Ecovelo boucle une levée de fonds de 2 M€ auprès de la Banque des Territoires, GO CAPITAL (via le fonds OUEST VENTURES III) et Parthal. L’opération est couplée à une levée de dette bancaire à hauteur de 1,3 M€. Grâce à ce financement, l’entreprise nantaise qui conçoit et fournit des solutions clés-en-main innovantes de vélos libre-service hybrides, entend accélérer son développement auprès des collectivités territoriales et des opérateurs de transport.

 

Ecovelo propose une gamme de produits diversifiée destinée aux collectivités. Simple, rapide, accessible et flexible, les vélos libre-service hybrides fonctionnent avec ou sans assistance électrique et avec ou sans borne de stationnement intégrée. Ecovelo a adapté son approche aux petites et moyennes collectivités locales sur tout le territoire français pour s’adapter aux particularités des zones de petite ou moyenne densité. L’entreprise entend contribuer à la structuration de cette stratégie coordonnée de la mobilité douce et de l’intermodalité avec les systèmes de transports collectifs sur tout le territoire.

 

De nombreuses collectivités ont déjà fait confiance à Ecovelo en très peu de temps : Reims, Bourg-en-Bresse, Niort, Agen, La Baule, Marseillan, Biarritz, Tarbes-Lourdes, Calais… ce sont au total près de 20 donneurs d’ordres qui ont été séduits sur les deux premières années.

 

Une levée de fonds pour renforcer la position d’Ecovelo

 

Cette levée de fonds permettra à la société d’étendre la gamme de ses solutions en introduisant, notamment, un vélo à assistance électrique de plus grande autonomie, des évolutions sur les systèmes de bornes et des fonctionnalités logicielles augmentées. Ce financement permettra également à Ecovelo d’augmenter ses capacités de production et de réduire ses délais de déploiement.

 

La société entend aussi renforcer son développement commercial sur les villes moyennes ainsi que la commercialisation de son offre à destination des grandes entreprises ayant des besoins de mobilité de proximité (par exemple pour les entreprises ayant des sites de production sur des grandes surfaces ou pour les professionnels de l’immobilier ayant des contraintes de places de parking).

 

Ecovelo, une réponse active à la nécessité d’une mobilité durable

 

La reprise de l’activité économique post-Covid19 nécessite de déployer rapidement des modes de transports facilitant la distanciation sociale tout en réduisant l’impact sur la voirie. Par ailleurs, les obligations liées à la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) récemment promulguées permettent aux territoires d’offrir de nouveaux services pour la mobilité du quotidien.

 

Le développement du vélo en France est un axe fort de la loi d’orientation des mobilités (LOM) prévoyant notamment 50 M€ par an alloués aux aménagements cyclables, une indemnité vélo de 400 € par an et par salarié (généralisation de l’IKV – Indemnité Kilométrique Vélo), la création de parcs à vélos sécurisés autour des gares, la généralisation des contresens cyclables, etc. Le vélo, lorsqu’il est proposé en libre-service, permet aux Territoires de compléter et consolider leur offre de transport tout en offrant une solution nouvelle pour les petits déplacements et les trajets de nuit. Les impacts sanitaires, économiques et environnementaux de l’usage du vélo sont positifs et transversaux, ils accélèrent la mutation de la mobilité urbaine vers une mobilité plus active et durable.

 

En traitant ces enjeux environnementaux et sanitaires par le biais d’une gestion tactique de la voirie pour les transports publics, le vélo en libre-service devrait s’imposer durablement comme un outil nécessaire et performant des politiques territoriales.

 

Pour Sébastien Bourbousson, fondateur et président d’Ecovelo (Human Concept) :

« Nous avons trouvé nos clients, fait la preuve de notre valeur ajoutée et de l’utilité de notre différence pour mieux répondre au besoin des petites et moyennes collectivités. Nous avons un modèle économique rassurant, et nous avons les bons partenaires pour nous accompagner dans cette aventure qui prend de l’importance jour après jour. Nous ressentons une certaine urgence à déployer nos solutions. Cette opération de financement s’inscrit dans la logique de notre stratégie et consolide notre histoire, j’en suis ravi. »

 

Pour Jérôme Guéret, directeur d’investissement de GO CAPITAL :

« La mobilité douce constitue une alternative de plus en plus crédible au regard des enjeux actuels de notre société. En effet, les problématiques de pollution, de coût des transports ou encore actuellement de distanciation sociale liées à la crise sanitaire sous-tendent des tendances de mobilité plus responsables. En seulement deux ans, Ecovelo a déjà su s’imposer auprès d’une vingtaine de donneurs d’ordre. Notre investissement aux côtés d’Ecovelo a pour objectif de permettre à cette solution de se développer auprès d’un plus grand nombre de métropoles et de villes de moindre densité. »

 

Pour Pierre Aubouin, directeur des Investissements Infrastructure et Mobilité de la Banque des Territoires :

« La Banque des Territoires a souhaité accompagner le développement d’Ecovelo car elle considère que le déploiement territorial de solutions de vélos en libre-service fait partie des ingrédients indispensables à la généralisation d’usages de mobilité plus intermodaux et plus durables. Ecovelo propose une solution simple, rapide, accessible et flexible, c’est-à-dire adaptée à une phase prolongée d’expérimentation. Cette solution est particulièrement adaptée aux petites et moyennes collectivités locales sur tout le territoire français, comme par exemple celles relevant du programme Action Cœur de Ville ou des villes à forte vocation touristique. »

 

Pour Philippe Jusserand, directeur régional de la Banque des Territoires Pays de la Loire :

« Avec cet investissement dans Ecovelo, nous agissons à la fois au bénéfice de territoires plus durables et plus attractifs, en complétant nos solutions durables pour la mobilité au service des agglomérations et des villes dites moyennes du dispositif Action Cœur de Ville, et en accompagnant le développement d’une entreprise nantaise, issue de l’écosystème local. »

 

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A propos d’Ecovelo

Créée en 2013, Ecovelo intègre toute la chaine de valeur autour de la mise en place de vélos en libre-service dans les villes ou les entreprises, sous forme d’une technologie unifiée et embarquée sur divers équipements et véhicules, le tout couplé à des solutions logicielles développées en interne qui permettent aux opérateurs d’agir vite et bien. La société propose également aux entreprises de cofinancer la pratique du vélo par le biais du sponsoring publicitaire ou des plans de mobilité. Le siège est implanté à Nantes. www.ecovelo.com

 

A propos de GO Capital

GO CAPITAL est une société de gestion indépendante gérant des fonds d’investissement en capital-amorçage et en capital-risque pour plus de 200 M€ et intervenant dans des sociétés innovantes technologiques basées dans l’Ouest et le Centre de la France. GO CAPITAL assure la gestion de 5 FPCI (GO CAPITAL Amorçage I et II, Ouest Ventures II et III et Loire Valley Invest). Depuis sa création, GO CAPITAL a investi dans plus de 100 entreprises essentiellement dans les domaines du Digital, de la Santé et de la Transition Énergétique. Le fonds Ouest Ventures III, qui investit au sein d’Ecovelo, réunit des entrepreneurs de l’Ouest de la France, Bpifrance, la Région Bretagne et la Région Pays de la Loire, ainsi que des partenaires bancaires (BNP Paribas, BPGO, CIC Ouest, CM Arkea). www.gocapital.fr

 

A propos de la Banque des Territoires

Créée en 2018, la Banque des Territoires est un des cinq métiers de la Caisse des Dépôts. Elle rassemble dans une même structure les expertises internes à destination des territoires. Porte d’entrée client unique, elle propose des solutions sur mesure de conseil et de financement en prêts et en investissement pour répondre aux besoins des collectivités locales, des organismes de logement social, des entreprises publiques locales et des professions juridiques. Elle s’adresse à tous les territoires, depuis les zones rurales jusqu’aux métropoles, avec l’ambition de lutter contre les inégalités sociales et les fractures territoriales. La Banque des Territoires est déployée dans les 16 directions régionales et les 35 implantations territoriales de la Caisse des Dépôts afin d’être mieux identifiée auprès de ses clients et au plus près d’eux.

 

Pour des territoires plus attractifs, inclusifs, durables et connectés.

www.banquedesterritoires.fr ½  @BanqueDesTerr

 

A propos de Parthal

Parthal est une holding patrimoniale détenue par un ancien dirigeant d’entreprise, qui donne du sens à chacun des investissements retenus en portant une attention particulière aux critères environnementaux et sociaux.

 

 

 

Paris, France, 4 mai 2020 – HORAMA SA, société française de biotechnologie spécialisée dans la thérapie génique pour le traitement de maladies génétiques rares en ophtalmologie, annonce aujourd’hui la nomination du Dr Ian Catchpole en tant que Directeur scientifique. Fort de plus de 25 années d’expérience dans la découverte et le développement de médicaments, Ian supervisera l’ensemble des activités scientifiques d’HORAMA.

 

Ian a travaillé pendant plus de 25 ans auprès de GlaxoSmithKline (GSK) et des entreprises à l’origine du groupe. Au fil des postes, il s’est forgé une excellente réputation, tant pour sa capacité à initier divers projets que pour ses qualités de leadership. Ces dernières lui ont notamment permis d’obtenir des soutiens et financements clés pour de nombreux projets, qu’il a lui‐même portés avec succès de la phase initiale jusqu’aux développement cliniques. Chez GSK, Ian a également été responsable des activités scientifiques, commerciales et stratégiques de plusieurs programmes, dans le cadre de partenariats avec des institutions universitaires et entreprises de biotechnologie. Il possède des connaissances approfondies dans de nombreux domaines, y compris l’ophtalmologie, la thérapie cellulaire et génique, la vaccination et l’immuno‐oncologie. Ian est l’auteur de plus de 40 articles scientifiques et l’inventeur de 17 brevets. Il est membre de la Royal Society of Biology (FRSB) et de la Society of GSK Fellows.

 

« Nous sommes ravis d’annoncer la nomination d’Ian au poste de Directeur scientifique. L’étendue de ses connaissances en matière de thérapie génique et son expérience concernant l’adoption de nouvelles approches  biopharmaceutiques en ophtalmologie clinique seront des atouts majeurs pour HORAMA. Nous sommes impatients de travailler avec lui, en vue de mettre nos produits de thérapie génique à disposition des patients atteints de pathologies ophtalmiques », commente Christine Placet, Directrice générale d’HORAMA.

 

« Je suis très honoré de cette nomination au poste de Directeur scientifique d’HORAMA. Je suis également impatient de contribuer à consolider le leadership de la société dans la thérapie génique en ophtalmologie, tout en continuant de faire avancer notre portefeuille de programmes cliniques et de fournir les meilleures thérapies disponibles aux patients atteints de dystrophies rétiniennes héréditaires », ajoute Ian Catchpole, Directeur  scientifique d’HORAMA.

 

Avant de rejoindre HORAMA, Ian a travaillé comme consultant en ophtalmologie, biopharmacie, thérapie cellulaire et génique, immuno‐oncologie, nouvelles thérapies et découverte / administration de médicaments. Au préalable, il a occupé la fonction de Directeur de recherche chez TC Biopharm.

 

Avant de quitter GSK, Ian travaillait en tant que responsable transversal des découvertes en thérapie cellulaire et génique. Il a été nommé GSK Fellow en 2016 pour l’ensemble de ses contributions au sein de l’entreprise.  Auparavant, il était chef de programme, au sein de GSK Ophthalmology, pour les traitements anti‐VEGF (anti‐vascular endothelial growth factor) via des systèmes à libération prolongée dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) humide, ainsi que pour les anticorps anti‐bêta‐amyloïde dans l’atrophie géographique. Ian a également oeuvré à l’administration de gènes thérapeutiques dans l’oeil par le biais de vecteurs du virus adéno‐associés (AAV) dans la DMLA sèche, dans le cadre d’une collaboration entre GSK et le groupe de recherche de Jim Wilson. Il a remporté deux prix d’excellence scientifique pour ses contributions en ophtalmologie et dans l’administration de Biopharms. Ian a également dirigé le programme de modes d’administration alternatifs de l’initiative Biopharm Vaccine Technology, chez GSK, où il a contribué à l’obtention de plus d’un million de livres sterling de  financement. Il a en outre travaillé pour le Gene Therapy Group à la fin des années 1990, auprès de Glaxo Wellcome. Ian a rejoint le Glaxo Transgenic Group en 1993, à la suite de ses recherches post‐doctorales sur les cellules souches embryonnaires à l’Institut Karolinska, en Suède, et sur l’herpès néonatal HSV‐2 à l’Université de Bristol, en Angleterre.

 

Le Dr Ian Catchpole est titulaire d’un doctorat en biologie moléculaire et d’un diplôme universitaire en biochimie de l’Université d’Oxford.

 

Le marché de la thérapie génique (sources : FiorMarkets et Grand View Research)

La thérapie génique a pour objectif de traiter des maladies rares pour lesquelles les options de traitement sont limitées ou inexistantes. Les troubles génétiques sont occasionnés par des mutations génétiques, susceptibles d’altérer la synthèse des protéines. La thérapie génique consiste à introduire un gène sain dans les cellules, afin de permettre une synthèse protéique fonctionnelle. La reconnaissance accrue et la sensibilisation croissante à l’efficacité de la thérapie génique dans le traitement de diverses maladies favorisent l’essor du marché. Le marché mondial de la thérapie génique devrait atteindre 5,5 milliards de dollars d’ici 2026. Parallèlement, le marché mondial de l’ophtalmologie devrait atteindre 43 milliards de dollars d’ici 2026 (selon un rapport publié en avril 2019 par Grand View Research).

 

À propos d’HORAMA

Nous croyons en la capacité de la thérapie génique à traiter un large éventail de troubles héréditaires. Centrée sur les dystrophies rétiniennes héréditaires, le programme clinique phare d’HORAMA est destiné aux patients présentant des mutations du gène PDE6B, susceptibles d’entrainer une perte progressive de la vue chez l’enfant et l’adulte, conduisant à la cécité. Notre équipe repousse les limites de la thérapie génique en développant des plateformes nouvelle génération, capables d’améliorer l’efficacité du transfert de gènes, de façon à lutter contre diverses formes de maladies.
Pour plus d’information : www.horama.fr

 

 

 

 

Rouen, le 29 avril 2020 Robocath, société qui conçoit, développe, et commercialise des solutions robotiques innovantes pour le traitement des maladies cardiovasculaires, annonce aujourd’hui avoir clôturé un nouveau tour de table de 40 millions d’euros. Cette opération menée par MicroPort Scientific Corporation (HKG:853), un acteur industriel majeur du secteur, coté à la Bourse de Hong-Kong, associe des investisseurs institutionnels (Zhejiang Silk Road Fund, Luxembourg CLIIF géré par TUS-Holdings, CS Group, Anaxago) aux investisseurs historiques de la société1.

 

Cette opération financière de 40 M€ permettra à la société d’une part d’élargir la commercialisation de sa première plateforme d’assistance robotique, R-One™, à d’autres zones géographiques cibles, et d’autre part, d’accélérer le développement de sa deuxième génération robotique. Cette dernière sera capable de traiter des angioplasties coronaires plus complexes et de réaliser des interventions périphériques et neurovasculaires dont le traitement des Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC).

 

A l’issue de la réalisation de cette opération, les investisseurs historiques[1] de la société et Philippe Bencteux, président-fondateur de Robocath, détiendront plus des 2/3 du capital de la société.

 

Cette opération concrétise également la mise en place d’un partenariat stratégique avec MicroPort qui se matérialisera par la création d’une joint-venture en Chine.

Fondée en 1998 et comptant plus de 7 000 collaborateurs, MicroPort dispose d’une expertise reconnue dans le développement, la fabrication et la commercialisation de dispositifs médicaux et est leader sur son marché  domestique dans le secteur cardiovasculaire.  Elle commercialise une gamme complète de stents et ballons en Asie, en Europe et aux Etats-Unis. En 2019, MicroPort a réalisé un chiffre d’affaires de 793 M$ (1/3 sur les activités cardiovasculaires), en croissance moyenne de +17% sur ces cinq dernières années. La société est cotée à la Bourse de Hong-Kong depuis septembre 2010.

 

Robocath compte capitaliser sur cette expertise pour ouvrir le marché asiatique grâce à cette joint-venture et ainsi initier dans cette zone géographique cible la commercialisation de R-One™. Afin de faciliter son intégration sur ce marché stratégique et d’y assurer une distribution optimale, l’assemblage de la plateforme robotique et la fabrication des consommables seront réalisés localement. Dans le cadre de ce partenariat, les deux sociétés mettront également à profit la complémentarité de leur savoir-faire pour développer de nouvelles briques technologiques pour la future prise en charge des interventions vasculaires à distance, et pour intégrer des modules d’intelligence artificielle à ses solutions, conformément au plan de développement de la société.

 

« Nous sommes convaincus que la croissance du marché des dispositifs médicaux dans notre secteur repose aujourd’hui sur l’intégration de plateformes robotiques innovantes afin d’améliorer la prise en charge des  pathologies cardiovasculaires. Elles permettront de créer de nouvelles possibilités de traitement comme la prise en charge à distance et de faciliter le geste des praticiens grâce à l’intelligence artificielle », déclare Dr Alex He, Directeur général d’une filiale de MicroPort, Medbot. « Nous sommes impatients de collaborer avec Robocath et d’initier la commercialisation de leur plateforme robotique propriétaire et à forte valeur ajoutée sur le marché chinois. »

 

« Cette opération financière va permettre à la société de réaliser ses objectifs », ajoute Lucien Goffart, Directeur général de Robocath. « L’engagement de MicroPort à nos côtés démontre la pertinence de notre proposition de valeur et tout le potentiel de notre solution. Grâce à d’excellentes synergies commerciales et technologiques, nous serons en mesure d’accélérer notre développement et de construire ensemble l’avenir de la robotique vasculaire qui bénéficiera incontestablement aux patients, aux médecins et à l’ensemble du système de santé. »

 

« Avec ce tour de table, Robocath franchit une nouvelle étape stratégique dans son développement. Je suis extrêmement fier du parcours de la société depuis sa création et tiens à remercier vivement les investisseurs  historiques pour leur confiance renouvelée et les nouveaux actionnaires pour leur forte adhésion à notre projet de développement au cours des prochaines années », déclare Philippe Bencteux, Président-fondateur de Robocath« Je suis également heureux d’accueillir au sein de notre Comité stratégique M. Jonathan Chen, chief international business officer de MicroPort, Dr Alex He, directeur général de Medbot, filiale de MicroPort, et M. Haitong Wang, managing partner de Zhejiang Silk Road Fund. »

 

Pour cette opération, Robocath a été conseillée par Mavietech et Bionest Partners Finance, sociétés de conseil en financement, et accompagnée par les cabinets d’avocats Dechert et L2B.

 

[1] GO CAPITAL, NCI, Cardio Participations, M Capital, Supernova Invest, Normandie Participations, Crédit Agricole Normandie, Unexo, Caisse d’Epargne Normandie

 

Blacknut, l’application « 100% Cloud Gaming » lance sa première campagne de publicité sur M6, W9 et 6Ter et invite les français confinés à jouer aux jeux vidéo sans console, ni PC de gaming.

 

Le 19 avril 2020 – Blacknut, la start-up Française, leader dans le « Cloud Gaming » diffuse depuis le 19 avril 2020 et pour une durée de 3 semaines, sa première campagne TV sur les chaînes du Groupe M6.

 

Cette campagne réalisée en un temps record (moins de 10 jours) par le cabinet VOID, avec le soutien de Microsoft Azure, partenaire historique de Blacknut, rappelle que : entre Télétravail, École à la maison, ou Sports indoorl’écran connecté est désormais au cœur de nos foyers. Un écran également source de moments à partager en famille. Ensemble !

 

Avec ses 3 spots diffusés par le Groupe M6 à des heures de grande écoute, Blacknut capitalise sur des moments de vie qui parlent à tous depuis le début du confinement, rendant l’accès au jeu vidéo facile et économique.

 

Pour découvrir les 3 spots :
« Il n’y a pas que le télétravail dans la vie » Blacknut.com : lien vidéo spot « Télétravail »
« À l’école à la maison c’est quand l’heure de la récré ? » Blacknut.com : lien video spot « École »
« Besoin de vous défouler ? » Blacknut.com : lien vidéo spot « Indoor »

 

Blacknut présente ainsi pour la première fois au grand public à la télévision cette révolution du jeu vidéo, qui rend désormais possible de transformer son écran connecté, en une véritable console de jeu. Aucune contrainte matérielle, pas de temps d’attente, ni d’achat de jeux en plus, tout est inclus dans son forfait mensuel sans engagement.

HORAMA signe un accord de licence exclusif avec l’Université de Leiden dans le traitement des dystrophies rétiniennes héréditaires induites par des mutations du gène CRB1

 

L’expansion du portefeuille de thérapie génique d’HORAMA dans les dystrophies rétiniennes héréditaires devrait donner lieu à l’entrée d’un second programme en clinique en 2023

 

Paris (France) et Leiden (Pays-Bas), le 18 mars 2020 – HORAMA SA, société française de biotechnologie spécialisée dans la thérapie génique pour le traitement de maladies génétiques rares en ophtalmologie, annonce aujourd’hui la signature d’un accord de licence exclusif avec l’Université de Leiden (LUMC). En vertu de cet accord, HORAMA acquiert les droits mondiaux d’un programme de thérapie génique visant à traiter la dystrophie rétinienne héréditaire induite par des mutations pathogènes du gène CRB1, une maladie ophtalmologique rare conduisant à la cécité.

 

« Nous sommes ravis d’avoir conclu cet accord, afin d’étendre notre leadership dans le domaine de la thérapie génique. LUMC est une institution universitaire de premier plan, qui rassemble des chercheurs reconnus en matière de thérapie génique, tels que Jan Wijnholds. Cette collaboration nous permet d’élargir notre portefeuille de traitements de thérapie génique dans les maladies ophtalmiques pour lesquelles il existe un besoin médical important et non satisfait », commente Christine Placet, Directrice générale d’HORAMA.

 

« Au cours des 20 dernières années, nos études ont conduit au développement d’une plateforme dédiée au développement de thérapies géniques pour les enfants atteints de mutations pathogènes du gène CRB1. Le principal obstacle auquel nous sommes confrontés pour tester cliniquement nos produits médicaux innovants en thérapie génique est lié au coût élevé de la phase de développement clinique. Nous sommes donc ravis de cet accord de recherche avec l’équipe d’HORAMA, un expert d’envergure mondiale dans ce domaine », ajoute Dr. Jan Wijnholds, chercheur au LUMC.

 

Selon les termes de l’accord, HORAMA bénéficie d’une licence mondiale exclusive concernant certains brevet et savoir-faire liés au candidat médicament HORA-001. En échange de ces droits, LUMC recevra un paiement initial d’un montant non spécifié, des paiements d’étape et des redevances sur les ventes nettes de produits. HORAMA sera responsable de la mise sur le marché à l’issue des études non cliniques et cliniques. Sous réserve de l’obtention d’une autorisation réglementaire, HORAMA prévoit de lancer une étude clinique de Phase I/II avec HORA-001 en 2023.

 

Les parties ont en outre conclu un accord de développement non clinique avec l’Université de Leiden (LUMC), sous l’égide du Dr Jan Wijnholds, Chef d’équipe au sein du Département d’ophtalmologie de LUMC.

 

A propos d’HORAMA
Nous croyons en la capacité de la thérapie génique à traiter un large éventail de troubles héréditaires.
Centrée sur les dystrophies rétiniennes héréditaires, le programme clinique phare d’HORAMA est destiné aux patients présentant des mutations du gène PDE6B, susceptibles d’entrainer une perte progressive de la vue chez l’enfant et l’adulte, conduisant à la cécité.
Notre équipe repousse les limites de la thérapie génique en développant des plateformes nouvelle génération, capables d’améliorer l’efficacité du transfert de gènes, de façon à lutter contre diverses formes de maladies.
Pour plus d’information : www.horama.fr

 

Le marché de la thérapie génique (sources : FiorMarkets et Grand View Research)
La thérapie génique a pour objectif de traiter des maladies rares pour lesquelles les options de traitement sont limitées ou inexistantes.
Les troubles génétiques sont occasionnés par des mutations génétiques, susceptibles d’altérer la synthèse des protéines. La thérapie génique consiste à introduire un gène sain dans les cellules, afin de permettre une synthèse protéique fonctionnelle. La reconnaissance accrue et la sensibilisation croissante à l’efficacité de la thérapie génique dans le traitement de diverses maladies favorisent l’essor du marché.
Le marché mondial de la thérapie génique devrait atteindre 5,5 milliards de dollars d’ici 2026. Parallèlement, le marché mondial de l’ophtalmologie devrait atteindre 43 milliards de dollars d’ici 2026 (selon un rapport publié en avril 2019 par Grand View Research).

 

Dystrophies rétiniennes héréditaires
Les dystrophies rétiniennes héréditaires constituent un ensemble hétérogène de maladies qui affectent progressivement la vue et peuvent conduire à la cécité. Chez les patients atteints, les mutations des gènes qui sont essentiels à la fonction rétinienne, entrainent la mort progressive, directe ou indirecte, des cellules photoréceptrices et la perte des fonctions visuelles associées.
Les dystrophies rétiniennes héréditaires recoupent des pathologies variées impliquant plus de 260 gènes identifiés à ce jour, y compris les mutations pathogènes du gène CRB1 et la dystrophie rétinienne héréditaire autosomique récessive liée à des mutations du gène PDE6B.

 

A propos du gène CRB1
Les mutations du gène CRB1 sont l’une des causes majeures des apparitions précoces et tardives des dystrophies rétiniennes héréditaires. Les protéines telles que CRB1 et CRB2 sont essentielles dans la rétine pour que les photorécepteurs adhèrent aux cellules gliales de Müller. La perte de la fonction CRB entraîne ainsi la perte des photorécepteurs et provoque la cécité.

 

Paris (France), le 11 mars 2020 – HORAMA SA, société française de biotechnologie spécialisée dans la thérapie génique en ophtalmologie, annonce aujourd’hui la nomination, de Rodolphe Clerval au poste de CBO. Rodolphe a une solide expérience en matière de mise en œuvre de partenariats stratégiques, d’accords de recherche et de développement commercial et de financement. Il sera responsable des activités de business et corporate développement, soutenant HORAMA dans l’exploitation d’un portefeuille de programmes de thérapie génique dans les dystrophies rétiniennes héréditaires.

 

 « Nous sommes ravis d’accueillir Rodolphe qui nous apporte une solide expérience internationale du business développement et de la stratégie de développement des sociétés, acquise dans des sociétés biotech et pharmaceutiques. Ses compétences précieuses vont nous permettre de préparer les prochaines étapes et d’optimiser le potentiel de nos produits de thérapie génique dans les maladies ophtalmiques, pour lesquelles il existe un besoin médical fort et non satisfait », commente Christine Placet, Directrice générale d’HORAMA.

 

Rodolphe Clerval (44 ans) a plus de 18 ans d’expérience internationale dans l’industrie pharmaceutique et biotechnologique. Avant de rejoindre HORAMA, Rodolphe était co-fondateur et Chief Business Officer chez Enterome où il a conduit plus de 15 transactions, y compris des partenariats industriels majeurs avec Takeda, J&J, BMS, Abbvie et Nestlé Health Sciences, totalisant plus de 100 millions d’euros de paiements initiaux et de prises de participation. Il a également participé activement aux tours de financement de la société. Rodolphe a précédemment travaillé pour TcLand Expression et Genzyme en business développement, et pour Natixis en tant qu’analyste financier sell-side. Il a commencé sa carrière chez Aventis Animal Nutrition en tant que scientifique.

 

Rodolphe est diplômé en Génie Biologique de Polytech Marseille et il est diplômé de l’EFFAS /SFAF.

 

« HORAMA est une entreprise exceptionnelle combinant une recherche de pointe en thérapie génique, des programmes au stade clinique et une solide équipe de leaders de l’industrie. Je suis ravi de rejoindre HORAMA et de soutenir la société dans la mise au point des meilleures thérapies dans les dystrophies rétiniennes », souligne Rodolphe Clerval, CBO, HORAMA.

 

Le marché de la thérapie génique (sources : FiorMarkets et Grand View Research)

La thérapie génique a pour objectif de traiter des maladies rares pour lesquelles les options de traitement sont limitées ou inexistantes.
Les troubles génétiques sont occasionnés par des mutations génétiques, susceptibles d’altérer la synthèse des protéines. La thérapie génique consiste à introduire un gène sain dans les cellules, afin de permettre une synthèse protéique fonctionnelle. La reconnaissance accrue et la sensibilisation croissante à l’efficacité de la thérapie génique dans le traitement de diverses maladies favorisent l’essor du marché.
Le marché mondial de la thérapie génique devrait atteindre 5,5 milliards de dollars d’ici 2026. Parallèlement, le marché mondial de l’ophtalmologie devrait atteindre 43 milliards de dollars d’ici 2026 (selon un rapport publié en avril 2019 par Grand View Research).

 

A propos d’HORAMA

Nous croyons en la capacité de la thérapie génique à traiter un large éventail de troubles héréditaires.
Centrée sur les dystrophies rétiniennes héréditaires, le programme clinique phare d’HORAMA est destiné aux patients présentant des mutations du gène PDE6B, susceptibles d’entrainer une perte progressive de la vue chez l’enfant et l’adulte, conduisant à la cécité.
Notre équipe repousse les limites de la thérapie génique en développant des plateformes nouvelle génération, capables d’améliorer l’efficacité du transfert de gènes, de façon à lutter contre diverses formes de maladies.
Pour plus d’information : www.horama.fr