CIVITIME® réalise sa première levée de fonds auprès de LOIRE VALLEY INVEST

 

 

Après une première année réussie de lancement des ventes de son serious game digital dédié à la RSE, la jeune entreprise de Tours (Indre-et-Loire) CIVITIME® accélère le développement et la commercialisation de son service à destination des entreprises, grâce à l’entrée à son capital du fonds d’investissement Loire Valley Invest. Cette levée de fonds va permettre à CIVITIME® de recruter de nouvelles compétences, d’adapter sa solution à d’autres thématiques, et de mettre de l’intelligence derrière le jeu afin d’identifier les signaux faibles et signaux forts de l’engagement.

 

CIVITIME®, spécialisée dans la conception de solutions d’engagement des collaborateurs en entreprise

CIVITIME est un serious game, collaboratif et personnalisable, permettant aux entreprises d’améliorer l’engagement de leurs collaborateurs en développant leur sentiment d’appartenance. L’entreprise a été créée début 2018 par son dirigeant
actuel Anthony MOLLÉ.

 

 

 

CiviTime est spécialisé sur deux thématiques qui contribuent à développer la fierté d’appartenance des salariés en entreprise :

– La stratégie RSE de l’entreprise, en se basant sur le référentiel ISO 26000 ,
– Le projet d’entreprise, ses valeurs et sa culture.

CiviTime met en scène les engagements des entreprises, afin de les rendre plus concrets et appropriables pour les collaborateurs.
Les joueurs sont immergés en équipe, dans une carte composée de leur entreprise etde ses parties prenantes. Ils ont pour mission de faire évoluer leur écosystème en retrouvant les engagements de leur société à travers différents modules de jeu.
CiviTime est constitué de plusieurs saisons limitées dans le temps (de 1 jour à 3 semaines), permettant chacune d’atteindre un échelon supplémentaire sur l’engagement des collaborateurs.

 

Accompagner l’accélération des ventes et le recrutement de nouvelles compétences

 

CIVITIME® est également accompagné par BPI France et Dev’Up à travers son programme d’accélération Scale’Up, pour assurer l’amélioration des solutions digitales qu’elle commercialise auprès des grandes et moyennes entreprises (L’Oréal, Crédit Agricole, France Boissons, Barrière…) L’entreprise s’appuie sur une équipe technique composée de compétences variées (développement web, game design, psychologue du travail, UX/UI) que le dirigeant souhaite renforcer dans les deux ans à venir.
« Il est primordial pour nous de continuer à faire évoluer notre serious game sur la forme, et également sur le fond, afin de proposer à nos clients une expertise
approfondie sur les différents leviers d’engagement des salariés en entreprise. » affirme Anthony MOLLÉ, Président de CIVITIME®.

 

Innover dans nos solutions pour renforcer l’engagement des collaborateurs des entreprises clientes

 

L’un des principaux objectifs recherchés par les Directions Communication/RSE des clients de CIVITIME est notamment d’avoir un meilleur taux d’engagement des collaborateurs. CIVITIME répond ainsi à plusieurs problématiques :

 

CIVITIME mène actuellement des réflexions avec des sociologues et psychologues du travail pour rendre sa solution toujours plus génératrice d’engagement au travail

 

A propos de CIVITIME® / Entreprise à impact social en Entreprise Fondée en 2018 par Anthony MOLLÉ, CIVITIME® développe des solutions digitales permettant de mesurer et améliorer l’engagement des collaborateurs en Entreprise.
www.civitime.com

 

A propos de LOIRE VALLEY INVEST (fonds géré par GO CAPITAL) / Le fonds LOIRE VALLEY INVEST, lancé en avril 2017 est doté de 21,5 millions d’euros et est souscrit par BPI, la Région Centre Val de Loire, les métropoles d’Orléans et de Tours, des partenaires bancaires (Crédit Agricole Centre Loire, Caisse d’Epargne Loire Centre, Banque Populaire Val de France, BNPP), des partenaires industriels et institutionnels (Groupama Paris Val de Loire, THELEM Assurances, EDF, Michelin, Revicentre). GO CAPITAL, au travers de ses 6 FPCI sous gestion (GO CAPITAL Amorçage I et II, Ouest Ventures I, II et III et Loire Valley Invest) a investi dans plus de 100 entreprises essentiellement dans les domaines du Digital, de la Santé et de la Transition Energétique.

Contacts presse

CIVITIME / Anthony MOLLÉ / Président
Anthony.molle@civitime.com / 06 18 52 61 43

LOIRE VALLEY INVEST / Hervé BACHELOT LALLIER / Directeur
d’investissements
herve.bachelotlallier@gocapital.fr / 06 16 04 99 56

 

 

Acticor Biotech, société de biotechnologie en phase clinique impliquée dans la phase aiguë des maladies thrombotiques, y compris les accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus, annonce aujourd’hui la levée de 7 millions d’euros pour compléter sa Série B à hauteur de 22,3 millions d’euros. Ce financement supplémentaire permettra à l’entreprise d’étendre son essai clinique ACTIMIS aux États-Unis. ACTIMIS est un essai clinique de phase II concernant le traitement de l’AVC ischémique aigu testant le glenzocimab (ACT017), son candidat-médicament.

 

Le tour de table a été dirigé par un nouvel investisseur, GO Capital. Les investisseurs existants, Newton BioCapital, CapDecisif Management et Anaxago, ont également participé à ce financement supplémentaire.

En complément de ce financement, Acticor Biotech a acquis 100% des actions d’AVCare. AVCare est une start-up de diagnostic, créée par le Pr. Serge Timsit et Jean-Marc Herbert et financée par la SATT Ouest Valorisation et GO Capital, qui développe un biomarqueur sanguin dans l’AVC. Acticor Biotech et la SATT Ouest Valorisation ont conclu un accord de sous-licence octroyant à la société les droits mondiaux de développer et d’exploiter le biomarqueur dans l’AVC.

 

Leila Nicolas, Directrice des investissements de GO Capital, va rejoindre le conseil d’administration d’Acticor Biotech. Leila a déclaré : « C’est une très belle opportunité pour AVCare d’être intégrée dans une biotech prometteuse telle qu’Acticor Biotech. Nous sommes également ravis à l’idée de participer au financement d’Acticor Biotech et impatients de connaître les résultats du développement clinique de phase II du glenzocimab dans l’AVC ischémique aigu, développement clinique qui pourra désormais être étendu aux États-Unis. »

 

Gilles Avenard, Président d’Acticor Biotech, a ajouté : « Nous sommes heureux d’avoir mobilisé des fonds supplémentaires auprès d’investisseurs spécialisés dans la santé, ce qui nous permettra d’étendre notre étude clinique ACTIMIS aux États-Unis. Notre consultation pré-IND avec la FDA, qui a eu lieu cet été, était suffisamment encourageante pour prendre la décision de déposer une IND dans les mois à venir. »

 

Pour l’extension de la série B, Agile Capital Markets a agi en tant que conseil financier pour Acticor Biotech.

Pour plus d’informations : https://acticor-biotech.com/

 

En présence du Président de l’Université Rennes 1, Monsieur David Alis et du Vice-Président de la Région Bretagne en charge de la Transition Energétique, Monsieur André Crocq, KEMIWATT a inauguré sa première batterie RedOx organique en dehors de ses murs.

 

David Alis Président de Rennes 1, André Crocq Vice-Président de la Région Bretagne en charge de la Transition Energétique, Guillaume Chazalet Président de KEMIWATT.
C’est dans le cadre du projet SERU, financé par la Région Bretagne que le système organique de stockage d’énergie stationnaire de KEMIWATT (8kW – 24 kWh) a été installé sur le campus universitaire de Beaulieu.

Il connecté à des panneaux photovoltaïques et à un bâtiment permettant ainsi de tester en conditions réelles d’utilisations, différentes applications de stockage tel que le transfert de charge, l’écrêtage ou le backup.

KEMIWATT souhaite avec cette batterie RedOx organique démontrer tous les avantages de cette technologie développée à partir des recherches de l’Université de Chimie de Rennes 1 :
· grande simplicité et robustesse de la solution avec une très faible maintenance ;
· une longue durée de vie (20 ans) et un très grand nombre de cycles (>20 000 cycles) ;
· des garanties de sécurité élevées (pas de risque au feu, pas de dégagement de gaz, pas de risque d’explosion), une faible sensibilité aux températures élevées ;
· le respect de l’environnement avec ses molécules recyclables, pas de terres rares ou matériaux précieux ;
· la capacité de dissocier la puissance et l’énergie ;
Depuis sa création en 2014, KEMIWATT est accompagnée dans son développement par Demeter Ventures, GO CAPITAL, Pierre-Yves Divet et la SATT Ouest Valorisation.

 

KEMIWATT, 11 allée de Beaulieu, CS 50837 – 35 708 Rennes Cedex
www.kemiwatt.com

GREEN IMPULSE, le précurseur et spécialiste des Synergistes de bio-contrôles pour la protection des plantes, réalise une levée de fonds d’1 M€ avec la participation de GO CAPITAL et d’ANJOU AMORCAGE.

GREEN IMPULSE vient de clôturer une levée de fonds d’1 M€ auprès des fonds GO CAPITAL Amorçage II, d’ANJOU AMORCAGE et de BPIFRANCE. Ces fonds permettront à l’équipe GREEN IMPULSE  de développer et commercialiser le 1er Synergiste* de bio-contrôles au monde pour le marché de la protection des plantes et de viser l’obtention d’une AMM d’ici 2025.

 

GREEN IMPULSE a été fondée début 2019 à Angers par Alexandre OLIVAUD et Emmanuel PAJOT expérimentés dans le domaine du bio-contrôle et de la protection des cultures. La technologie valorisée est issue de nombreuses années de recherches réalisées par les laboratoires FUNGISEM et SONAS de l’Université d’Angers et basés au cœur du Campus du Végétal. Ces 2 laboratoires sont respectivement spécialistes des champignons pathogènes des plantes et des substances naturelles, principalement d’origine végétale (extraction-purification, analyses, synthèse, valorisation biologique).

 

Les champignons sont responsables de 80% des maladies connues à ce jour chez les plantes cultivées et entraînent des pertes de production d’environ 15% à l’échelle mondiale. La lutte contre ces maladies fongiques est essentiellement réalisée par l’emploi de produits phytosanitaires de synthèse (fongicides). La protection des cultures est amenée à évoluer vers de nouvelles stratégies ne reposant plus uniquement sur l’utilisation des pesticides. Dans ce contexte, GREEN IMPULSE s’engage dans le développement de nouvelles stratégies de luttes contre les champignons pathogènes des plantes pour permettre une meilleure performance et un déploiement rapide des alternatives aux fongicides, notamment les produits de bio-contrôles.

 

Cet engagement de Green Impulse se traduit par le développement d’une nouvelle brique technologique,  « les Synergistes », qui consistent à fragiliser les champignons pathogènes, sans les tuer, afin de les rendre plus sensibles aux réponses de défenses naturelles des plantes (réponses immunitaires des plantes). Ainsi, toutes stratégies de protection basées sur les capacités naturelles des plantes à se défendre (ex : variété tolérantes ou résistante, Stimulateurs de Défenses des Plantes, SDP) associés aux Synergistes de GREEN IMPULSE, seront plus performantes et durables pour maîtriser le développement des maladies en agriculture.

 

* Synergiste : Substance ou préparation renforçant l’activité de la/des substance(s) active(s) présente(s) dans le(s) produit(s) de protection des plantes.

https://www.greenimpulse.fr/

Alexandre OLIVAUD et Emmanuel PAJOT, fondateurs de GREEN IMPULSE : « Cette levée de fonds nous permettra d’atteindre un premier GO Technologique et Réglementaire en initiant les étapes nécessaires à l’inscription Européenne d’une première substance active naturelle synergiste, avec l’objectif d’obtenir des autorisations de mise sur le marché futures en Europe. Nous sommes fiers de pouvoir aboutir dans cette première étape de notre projet d’entreprise car il y a urgence à apporter aux agriculteurs de nouvelles solutions, et également de pouvoir valoriser les travaux de chercheurs investis et sensibles à l’innovation dans le secteur des productions végétales ».

Contact GREEN IMPULSE : Alexandre OLIVAUD, Président co-fondateur, 06.99.24.67.99

a.olivaud@greenimpulse.fr

www.greenimpulse.fr

Frederic LE GUILLOU chargé d’investissement GO Capital : « Nous sommes très fiers d’accompagner GREEN IMPULSE dans ce projet ambitieux qui apporte une véritable réponse aux enjeux agronomiques actuels, en renforçant et en boostant l’efficacité des produits de bio-contrôles ! »

Closing Green Impulse , Go Capital , Anjou Amorçage

De gauche à droite sur la photo ; Christine CARMES d’Anjou Amorçage, Alexandre OLIVAUD et Emmanuel PAJOT les co-fondateurs de GREEN IMPULSE et Frédéric LE GUILLOU de GO CAPITAL.

Les fondateurs de GREEN IMPULSE: Alexandre OLIVAUD & Emmanuel PAJOT

I-SEP lève 2,5 millions d’Euros auprès de GO CAPITAL Amorçage, des Business Angels et des Family Offices

 

Cette levée de 2,5 millions d’euros effectuée auprès de Go Capital Amorçage, des business angels et des family offices va permettre à i-Sep (Nantes) de poursuivre ses travaux dans l’autotransfusion périopératoire.

 

Cette technologie consiste à récupérer le sang épanché du patient pendant la chirurgie. Il est traité puis réinfusé. Cette méthode très technique est préconisée par l’Organisation mondiale de la santé.

 

i-Sep a développé une technologie de filtration qui assure la conservation des plaquettes pour une récupération jusqu’à 80% de la quantité initiale.

 

La nouvelle levée de fonds permettra à i-Sep de franchir les barrières réglementaires. i-Sep est soutenue par les CHU de Nantes, Rennes et Bordeaux.

 

i-Sep

 

 

Ces interventions ont été réalisées au CHU de Rouen et à la Clinique Pasteur de Toulouse et précèdent la première étude clinique de ce type conduite en Europe

Rouen, le 24 septembre 2019Robocath, société qui conçoit, développe, et commercialise des solutions robotiques innovantes pour le traitement des maladies cardiovasculaires, annonce aujourd’hui le succès des deux premières angioplasties coronaires avec l’assistance de sa plateforme robotique R-One™. Ces interventions ont été réalisées en France, au CHU de Rouen par le Professeur Durand et le Professeur Sabatier, et à la Clinique Pasteur de Toulouse par le Docteur Fajadet.

 

R-One™ assiste les cardiologues interventionnels lors d’une angioplastie coronaire. Cette plateforme robotique est conçue pour faciliter et augmenter le geste réalisé pour le patient et offre un meilleur environnement de travail aux praticiens et à l’ensemble de l’équipe médicale.

 

Cette étude clinique prospective est la première de ce type conduite en Europe. Elle implique six centres européens, dont trois en France (CHU de Rouen, CHU de Caen, Clinique Pasteur de Toulouse). Elle portera sur 60 patients et vise à démontrer la sécurité et l’efficacité de la plateforme d’assistance robotique R-One™ lors d’une angioplastie coronaire.

 

Dr Philippe Bencteux, Président-fondateur de Robocath, déclare : « Ces deux succès marquent une nouvelle ère dans la cardiologie interventionnelle telle qu’elle est pratiquée en Europe aujourd’hui. C’est un projet porté depuis plusieurs années et toute l’équipe et moi-même sommes extrêmement fiers du succès de ces deux procédures. »

 

Pr Eric Durand, cardiologue interventionnel au CHU de Rouen, commente : « Je me sens particulièrement privilégié par l’opportunité qui m’a été donnée il y a plusieurs années de participer à ce projet et d’aboutir aujourd’hui à cette première intervention sur l’Homme avec d’excellents résultats. »

 

« Je suis bien évidemment ravi du succès de ces procédures et de constater que le CHU de Rouen continue d’accompagner les innovations de pointe dans le secteur médical près de vingt ans après notre première implantation de valve aortique dans cette même salle », précise Alain Cribier, Professeur émérite en cardiologie interventionnelle et inventeur du TAVI (Transcatheter Aortic Valve Implantation).

 

Dr Jean Fajadet, co-directeur de l’Unité de Cardiologie Interventionnelle de la Clinique Pasteur à Toulouse, complète : « Je suis très heureux du succès de ces interventions et je suis très confiant quant aux résultats de l’étude. Nous sommes à l’aube d’une révolution considérable dans le domaine de la cardiologie interventionnelle grâce aux possibilités offertes par la robotique vasculaire, que nous développons à Pasteur. »

 

Pr Rémi Sabatier, cardiologue interventionnel au CHU de Caen, ajoute : « C’est un honneur pour moi d’avoir participé à cette première angioplastie robotisée. Je partage aujourd’hui la joie des équipes qui nous ont accompagné dans cette aventure que je suis impatient de poursuivre au CHU de Caen. »

 

Lucien Goffart, Directeur général de Robocath, conclut : « C’est une réussite française, portée par l’ensemble de nos collaborateurs et par des équipes médicales et techniques très investies que je tiens aujourd’hui à remercier et à féliciter vivement. C’est une étape déterminante dans notre développement qui ouvre la voie à une transformation du secteur. Cette transformation implique l’ensemble des acteurs de l’industrie et amène nécessairement à réfléchir à l’environnement dans sa globalité, grâce aux nouvelles possibilités offertes par la robotique, notamment en matière d’interopérabilité des équipements. »

 

 

Pr Durand (à gauche) et Pr Sabatier (à droite) – CHU Rouen                                   Dr Fajadet – Clinique Pasteur de Toulouse

 

À PROPOS DU CHU DE ROUEN

 

Le service de cardiologie du CHU de Rouen est une référence pour la prise en charge des maladies cardio-vasculaires, première cause de mortalité dans le monde et grande cause d’appel et de consultation dans les services d’urgences. Il a été le premier à implanter une valve aortique par voie percutanée en 2002, une avancée médicale considérable. Cette intervention réalisée à l’époque par le professeur Cribier et son équipe offre une alternative de soins à des patients atteints de sténose aortique sévère à haut risque de mortalité chirurgicale. Plus de 250 000 personnes ont pu bénéficier de cette technique dans le monde à ce jour. Le CHU de Rouen entend ainsi poursuivre cette dynamique de recherche et d’innovation à l’international.

 

À PROPOS DE LA CLINIQUE PASTEUR DE TOULOUSE

 

Première clinique privée indépendante française, la clinique Pasteur déploie son expertise en cardiologie depuis plus de 30 ans avec une ambition d’excellence et d’innovation portée au quotidien par ses professionnels. Elle dispose d’un cardio-center pensé par les soignants, autour du patient, conçu pour optimiser leur prise en charge en cardiologie. Les blocs de cardiologie interventionnelle ultra-récents sont équipés de matériel de haute technicité et intègrent depuis cette année dans les pratiques quotidiennes, les robots d’assistance aux angioplasties coronaires.

 

À PROPOS DE ROBOCATH

 

Fondée en 2009 par le docteur Philippe Bencteux, Robocath conçoit, développe et commercialise des solutions d’assistance robotique dédiées au traitement des maladies cardiovasculaires. Acteur de la transformation robotique du secteur médical, ces développements visent à augmenter le geste réalisé grâce à des technologies précises et complémentaires des méthodes interventionnelles actuelles.

R-Oneest la première solution robotique développée par Robocath. R-One intègre une technologie unique et propriétaire permettant de sécuriser et d’optimiser l’angioplastie coronarienne par assistance robotique. Cette procédure médicale consiste à revasculariser le muscle cardiaque grâce à l’implantation d’un ou plusieurs implants (stents) dans les artères qui l’irriguent. Une opération de ce type est pratiquée toutes les 30 secondes dans le monde.

R-Oneest conçu pour intervenir avec précision et réaliser des gestes très spécifiques, le tout dans un environnement de travail amélioré. Grâce à son architecture ouverte, R-One est compatible avec la plupart des dispositifs d’angioplastie coronaire et salles de cathétérisme. Le dispositif a obtenu le marquage CE en février 2019.

A terme, Robocath ambitionne de devenir le leader mondial de la robotique vasculaire et de développer de nouvelles solutions pour la prise en charge des urgences vasculaires à distance (AVC) afin de garantir à tous le meilleur parcours de soins.

Basée à Rouen, Robocath compte plus de 25 collaborateurs et est soutenue financièrement par des fonds d’investissement régionaux (NCI, Normandie Participations, GO CAPITAL) et nationaux (M Capital, Supernova Invest) ainsi que par de nombreux business angels, des banques (Caisse d’Epargne, BNP Paribas, Crédit Agricole) et Bpifrance.

 

CONTACTS PRESSE

Robocath

Morgane Le Mellay
morgane.mellay@robocath.com
06 34 40 91 25
Juliette dos Santos / Céline Gonzalez
juliette@ala.com / celine@ala.com
01 56 54 07 00

 

ShareMat lève 2 millions d’euros pour créer un parc numérique de 30 000 matériels de Travaux Publics

 

ShareMat, startup nantaise dans le secteur de la Construction, lève 2 millions d’euros auprès de Go Capital et d’industriels pour devenir un partenaire majeur de la transformation numérique du secteur. ShareMat rassemble les données des objets connectés sur les matériels ainsi que les données métiers pour les gérer. Les utilisateurs collaborent en ligne et partagent les matériels sur des réseaux privés pour une meilleure rentabilité.

 

La vision de ShareMat est que le secteur de la Construction voit monter en puissance l’utilisation des données et des logiciels pour industrialiser l’utilisation des matériels. La maîtrise des outils numériques devient un prérequis pour profiter de cette transformation.

 

ShareMat est l’outil le plus simple du marché pour numériser un parc de matériels dans le secteur de la Construction. Le matériel physique dispose alors de son jumeau numérique.

 

Un propriétaire de matériels avait l’habitude d’acheter un matériel comme un patrimoine qui se déprécie et qu’il faut renouveler tous les 8 ans. Aujourd’hui le propriétaire a besoin de l’usage d’un matériel de production, qui communique numériquement avec ses outils de gestion ou ceux de ses clients et pour lequel il devra assurer un taux d’utilisation optimisé.

 

ShareMat propose d’améliorer la productivité en collaborant en ligne sur des matériels numérisés.

 

Plus de 150 propriétaires et 1 500 matériels de Travaux Publics sont déjà gérés sur la plateforme ShareMat Fleet. L’ambition est de numériser un parc de 30 000 machines qui seront autant de ressources à partager pour une meilleure rentabilité.

 

Une tendance qui devient réalité. Une plateforme ShareMat Rent de partage de matériels en marque blanche, pour les clients d’un distributeur belge (500 clients, 2 000 matériels), a été inaugurée la semaine dernière sur le salon MATEXPO, à Courtrai.

 

A propos de ShareMat

ShareMat est une startup créée mi 2017 par Jean-Luc FIRMIN et Xavier COURJARET, après une expérience réussie dans la maintenance des matériels de Travaux Publics. ShareMat développe des plateformes SAAS de gestion collaborative de matériels et de partage d’usage entre professionnels en espace privés. Il s’agit de permettre aux utilisateurs de matériels de Travaux Publics de les gérer ensemble et facilement, d’améliorer la productivité grâce à la donnée. ShareMat participe à la transformation numérique du secteur de la Construction. L’entreprise apporte un regard nouveau sur la collaboration entre plusieurs acteurs autour de l’image numérique d’un matériel, pour une meilleure efficacité. L’effectif est actuellement de 8 personnes.

Pour en savoir plus : www.sharemat.fr

A propos de GO CAPITAL

GO CAPITAL est une société de gestion indépendante gérant des fonds d’investissement en capital-amorçage et en capital-risque pour près de 200 millions d’euros et intervenant dans des sociétés innovantes technologiques basées dans l’Ouest et le Centre Val de Loire. Le fonds GO CAPITAL Amorçage II, lancé en avril 2017, est doté de 74 M€ et est souscrit par le Fonds National d’Amorçage (géré par Bpifrance Investissement dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir), par le Fonds Européen d’Investissement, par les Régions Bretagne, Pays de la Loire, Normandie et Centre Val de Loire, par des partenaires bancaires (Banque Populaire Grand Ouest, Caisse Epargne de Normandie, CIC Ouest, CM ARKEA et Crédit Agricole Atlantique Vendée), les Métropoles de Nantes et Rennes, et par une vingtaine d’entrepreneurs.

 

Pour en savoir plus : www.gocapital.fr

Contact presse :

Jean-Luc FIRMIN – Président, co-fondateur – jeanluc@sharemat.fr – Mob : 06 08 89 41 65

 

 

Rouen, le 3 septembre 2019Robocath, société qui conçoit, développe et commercialise des solutions robotiques pour le traitement des maladies cardiovasculaires, annonce aujourd’hui avoir réalisé une levée de fonds de 5 millions d’euros afin d’accompagner le déploiement commercial de sa première plateforme robotique dans des pays stratégiques cibles en Europe. La société accueille également Lucien Goffart au poste de Directeur Général.

 

Fort d’une expérience de plus de vingt ans dans le domaine de la cardiologie interventionnelle, Lucien Goffart a occupé de nombreuses fonctions clés dans des industries leaders du secteur et
a accompagné le déploiement commercial de plusieurs produits à l’international. Il a notamment occupé le poste de Business Unit Manager France au sein de Boston Scientific ces quatre dernières années et a récemment été nommé membre du Conseil d’administration d’Electroducer, un fabricant français de dispositifs médicaux vasculaires.

 

Philippe Bencteux, Président-fondateur de Robocath, déclare : « Je suis très heureux d’accueillir Lucien Goffart à un moment clé de la vie de l’entreprise, avec le lancement commercial de notre première plateforme robotique. Son expertise du secteur n’est plus à démontrer. Cette nomination intervient dans un contexte de marché particulièrement favorable avec le rachat cet été de notre seul concurrent direct, Corindus Vascular Robotics, par Siemens à hauteur de 1,1 milliard de dollars. Je tiens également à remercier nos actionnaires historiques pour leur confiance renouvelée dans le cadre de cette nouvelle levée de fonds et les nouveaux entrants pour leur soutien. »

 

Lucien Goffart, Directeur Général de Robocath, ajoute : « C’est un honneur de prendre aujourd’hui mes fonctions de Directeur Général au sein de Robocath. Je suis impressionné par le parcours de la société depuis sa création et je suis très enthousiaste à l’idée de collaborer avec cette équipe jeune et dynamique. R-One™ est un produit exceptionnel et unique, qui offre de nombreux bénéfices au médecin et in fine au patient. Son potentiel de marché est considérable et je suis impatient d’initier les études cliniques et de contribuer à l’écriture de cette nouvelle page de l’histoire de la cardiologie interventionnelle. »

 

La levée de fonds de 5 millions d’euros a été réalisée auprès des actionnaires historiques de la société (GO CAPITAL, NCI, Normandie Participations, M Capital et Supernova Invest) et de nouveaux fonds (Caisse d’Epargne Normandie Innovation, Crédit Agricole Innove en Normandie et Unexo, filiale de neuf Caisses régionales du Crédit Agricole dont la Caisse Normandie-Seine).
La société avait levé 6,4 millions d’euros au cours de l’année 2017. Cette nouvelle opération permet à Robocath de poursuivre les actions relatives au lancement commercial de la plateforme robotique R-One™ dans plusieurs pays européens cibles.

 

À PROPOS DE ROBOCATH

Fondée en 2009 par le docteur Philippe Bencteux, Robocath conçoit, développe et commercialise des solutions d’assistance robotique dédiées au traitement des maladies cardiovasculaires. Acteur de la transformation robotique du secteur médical, ces développements visent à augmenter le geste réalisé grâce à des technologies précises et complémentaires des méthodes interventionnelles actuelles.

R-Oneest la première solution robotique développée par Robocath. R-One intègre une technologie unique et propriétaire permettant de sécuriser et d’optimiser l’angioplastie coronarienne par assistance robotique. Cette procédure médicale consiste à revasculariser le muscle cardiaque grâce à l’implantation d’un ou plusieurs implants (stents) dans les artères qui l’irriguent. Une opération de ce type est pratiquée toutes les 30 secondes dans le monde.

R-Oneest conçu pour intervenir avec précision et réaliser des gestes très spécifiques, le tout dans un environnement de travail amélioré. Grâce à son architecture ouverte, R-One est compatible avec la plupart des dispositifs d’angioplastie coronaire et salles de cathétérisme. Le dispositif a obtenu le marquage CE en février 2019.

A terme, Robocath ambitionne de devenir le leader mondial de la robotique vasculaire et de développer de nouvelles solutions pour la prise en charge des urgences vasculaires à distance (AVC) afin de garantir à tous le meilleur parcours de soins.

Basée à Rouen, Robocath compte plus de 25 collaborateurs et est soutenue financièrement par des fonds d’investissement régionaux (GO CAPITAL, NCI, Normandie Participations) et nationaux (M Capital, Supernova Invest) ainsi que par de nombreux business angels, des banques (Caisse d’Epargne Normandie, BNP Paribas, Crédit Agricole) et Bpifrance.

www.robocath.com

 

 

Pubstack la jeune startup tech lève 2M€ pour permettre aux médias digitaux de reprendre le contrôle sur leur performance publicitaire

 

Après une conquête fulgurante du marché francais, Pubstack, annonce une levée de fonds de plus de 2 millions d’euros auprés d’investisseurs de renom.

 

En effet, en moins de 8 mois d’existence la startup compte déja parmi ses clients certains des plus grands médias digitaux en France: Webedia (Allociné, Jeuxvideo.com), Adverline (La Poste), CCM Benchmark (Groupe Figaro), M6 et The Moneytizer ainsi que des premiers clients internationaux.

 

Augustin Ory CEO de The Moneytizer -la régie publicitaire qui compte a son actif plus de 20.000 sites web clients et plus de 20 milliards de publicités servies par mois affirme: « Aujourd’hui nous ne pourrions plus nous passer de Pubstack pour monitorer nos performances publicitaires! »

 

La rapidité d’adoption du produit dans les équipes AdOps confirme aussi l’émergence tres claire d’un nouveau besoin, lié a l’adoption du Header bidding, du First Price auction ainsi que de la rapidité d’évolution et de la complexité globale du marché.

 

A propos de Pubstack

Pubstack édite une plateforme qui permet aux équipes de monétisation des médias digitaux de collecter et de comprendre toute la data qui impacte leurs revenus afin de prendre de meilleures décisions et d’optimiser leurs revenus publicitaires.

 

Une levée de fonds auprès d’investisseurs de renom.

Pour une première levée de fonds, la startup s’est rapprochée de partenaires financiers susceptibles d’apporter de précieux conseils et une connaissance approfondie des médias digitaux, tels que Romain Niccoli co-fondateur de Criteo ou Alexei Chemenda CRO d’Adikteev. Ainsi qu’auprés des fonds Kima Ventures et Go Capital avec le soutien de la BPI.

Grâce à cet apport, Pubstack souhaite accélérer son développement à l’international, développer de nouvelles fonctionnalités et faire grandir ses équipes en R&D.

 

Un marché à très fort potentiel

Le marché de la publicité digitale, hors Google et Facebook représentera 122 milliards d’euros en 2022 avec une croissance projetée de 70% en 4 ans. Le marché de l’analytics et du monitoring publicitaire sur lequel se positionne Pubstack représentera quant à lui plus de 2 milliards d’euros en 2022.

En effet, au cours des derniéres années, l’industrie Ad Tech n’a cessé de se complexifier. Avec de nouveaux acteurs et technologies qui émergent a un rythme étourdissant, il est devenu difficile pour les médias digitaux de tenir la cadence. Les Ad Operations se sont drastiquement complexifiées et obligent les médias à devenir de vrais acteurs technologiques.

Pubstack s’est donné pour mission de faire regagner aux médias digitaux le contrôle de leurs opérations publicitaires, en leur permettant de prendre des décisions informées, basées sur une data granulaire et temps-réel et ainsi leur permettre de mieux réussir dans le monde -de plus en plus complexe- de la publicité programmatique.

 

Contact presse:

Asmada BENTAHAR

asmaa@pubstack.io